La Potence
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2ème partie sur 4
Des constructions…déconstructions (..)
Individuellement construit, l’on cesse de se donner en pâture. Dès lors il est pertinent de se regrouper, de manière affinitaire, le vain, le médiocre évacué, cela fait sens. Ainsi les modalités des rapports, les dialectiques, les tentatives sont installées. Librement investie et non consentie. Rien n’est donné que de se conquérir pas à pas, toujours nouvelles, nos espaces libérés. A aucun instant, sommes toute, il est offert autre choses que les neuves , les autrement que l’on s’installera.
Il ne s’agit pas de reproduire, de répercuter, d’orienter, biaiser, un discours une pratique. Au contraire, l’on outille d’abord seul puis collectivement, et collectivement ourdi, repossédées , tout est à nouveau réalisable.
Maintenant, comment déconstruit-on ?
L’on prétérite que chacunE s’existe comme il l’entend. Des lieux d’ infamies, des lieux maudits, vont jetés aux cloaques. De ces lieux l’on nécessite de se défaire, au point où, de désuétudes, ils précipiteront leurs gens. : consumés d’inutilité.
Ainsi, toutes relations aux obscènes vont cessées. A tout le moins, pour les inévitable, (pour l’instant) réduite aux minimums. Cela implique, chemin faisant de se construire des espaces neufs. C’est là, l’ acte premier, à briser les modèles, de barricades de résistances de sabotages, de déconstructions.. et ceci à tout instant et en tout lieux. Pour le reste et par la suite, il n’est que conquêtes et inventions. Cela dit, collectivement, l’affrontement peut s’articuler frontalement, méticuleusement. En certains cour instants, se déploient les solidarités, les ripostes pragmatiques et consciencieuses. Terriblement éparses pour l’instant. Ainsi des moments (G8) des lieux (transport public) donnés , des actes, des constructions ont existé. Sur un temps indécidé et bref ( !!). Les occasions vont définitivement et durablement appropriées. Tel en va de nos enjeux : Réunir, et démultiplier les compétences, les expérimentations. s’en créer, s’en inventer de nouvelles.
Cela n’invalide certainement pas les spontanéités, cela est consécutifs au frappes aléatoires. Cela se veut durable et jolis.
Et puis, pourquoi déconstruit-on ?
L’on connaît, disions-nous, les lieux des tyrannies. L’usufruit des tenants et les abandons des aboutissant. Et l’on postule que quiconque, ouconques n’existe que aux chemins des émancipations. Les ostracismes, de temps de lieux et d’intentions vont déboulonnés. Pour tenter les aventures de nos possibles, l’on conquiert les libertés. Alors, pour enfin commencer, finira-t-on de terminer ce monde ! il faut le cesser non pour recommencer, mais pour enfin commencer. Ensemble. Ainsi l’on déconstruit, a s’offrir les possibles de nos mondes nouveaux, de nos mondes inventés, aux mesures de ce que l’on voudra bien y exister.
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